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Ilse confie à Jim, qui le soigne avec l’aide du docteur Livesey : il lui apprend que ses ennemis, menés par le vieux Flint, convoitent le coffre qu’il dissimule. Un jour, un vieil homme étrange, aveugle et laid, remet au capitaine un signe, la « tâche noire », annonciatrice de meurtres.
Chapitreun : Au bord de la rivière est le premier épisode de la première saison de Riverdale. Il a été écrit par Roberto Aguirre-Sacasa et réalisé par Lee Toland Krieger. Il a été diffusé pour la première fois le 26 janvier 2017 sur CW. À l'aube d'une nouvelle année scolaire, la ville de Riverdale est sous le choc de la mort tragique de Jason Blossom, un
tempête C’était une galiote hollandaise, un bateau plutôt rond, avec une mâture assez basse, donc lourd et peu rapide, mais d’une stabilité extraordinaire par mauvais temps. Aussi le soir, lorsque le capitaine van Deyssel vit un coup de vent faire éclater l’une des voiles comme un ballon, il ordonna à ses hommes de replier les autres
Nouspoursuivons avec le résumé par chapitres de Capitaine Alatriste connaître les deux prochains épisodes du roman.. III. UNE PETITE FEMME. Íñigo
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Résuméchapitre par chapitre Chapitre 1 Résumé de la généalogie de Gargantua, l’auteur en profite pour y mettre en lien ses autres livres comme Pantagruel. En effet, les origines
Ilétait Un Capitaine Page 8 sur 50 - Environ 500 essais La notion de port Les blancs embarquèrent sur le radeau, qui fut tiré par le seul et unique canot de sauvetage
Unroman adressé à la jeunesse 🧑👩. Le résumé du livre Les clients du Bon Chien Jaune laisse apparaître qu’il s’agit d’ un roman d’apprentissage un peu particulier. Au lieu de se faire de façon classique, l’évolution de l’adolescent se fait au cours d’une aventure de pirates sanguinaires ⚔️.
GwGy9B. Présentation du roman d’Honoré de Balzac Honoré de Balzac a publié le Colonel Chabert en 1844. Ce texte fait partie de la Comédie Humaine. Dans la première édition, Edouard Toudouze, célèbre dessinateur de l’époque se chargea des illustrations. Le Colonel Chabert est une étude de mœurs. Enfant trouvé, Chabert devient colonel dans la Garde impériale de Napoléon. Il a participé à l’expédition d’Egypte et a participé aux pillages et à la destruction des vestiges de Kemet, l’Egypte ancienne. La vie de Chabert est pleine d’aventures. Il épouse une femme de basse extraction Rose Chapotel et la couvre de biens. Blessé au combat, il passe pour mort, Rose se remarie et devient comtesse. Chabert ne peut récupérer sa femme et son rang. Il meurt seul dans la misère et l’anonymat. Résumé du livre Le Colonel Chabert L’histoire commence vers 1817 lorsqu’un vieil homme arrive dans une étude d’avoués. Vêtu d’un manteau démodé et d’une cravate sale, pâle et affamé, il ressemble à un cadavre. Lorsqu’il ôte son chapeau, la perruque graisseuse se détache, révélant un crâne chauve déchiré par une profonde . Soumis aux railleries des clercs et traité comme un indésirable, on lui dit en plaisantant de ne revenir qu’à une heure du matin pour un rendez-vous avec de Maître Derville, le patron de l’étude. En le quittant, le greffier lui demande son nom. Chabert», répond simplement l’homme. “Le colonel qui mourut à la bataille d’Eylau?” Demande le commis d’un ton sarcastique, se souvenant du célèbre nom. “Lui-même”, répond simplement Chabert. Le jeune et brillant avocat Derville retourne de nuit à son bureau pour y travailler. Là, dans la semi-obscurité, un homme l’attend, immobile. Derville accepte d’écouter l’histoire de l’homme qui se décrit comme le colonel Chabert, “celui qui est mort à Eylau” il y a plus de dix ans. Le survivant raconte. Au cours de la bataille d’Eylau en 1807, le régiment du colonel Chabert a mené une charge de cavalerie contre les assauts russes qui changea le cours de la bataille en faveur de Bonaparte. Chabert a été frappé à la tête par un sabre, coincé sous son cheval, et fut déclaré mort. Il fut enterré vivant avec les milliers d’autres victimes de cette sanglante bataille, sous une montagne de cadavres. Pour continuer le résumé du roman de Balzac, lentement, péniblement, il réussit à s’extraire de la masse en décomposition, jusqu’à émerger sur un champ de bataille enneigé et désert. Sauvé par une famille de paysans, il demeura des mois durant entre la vie et la mort. Une fois guéri, il résolut de regagner la France et de récupérer son nom et sa propriété. Mais personne n’avait cure d’un soldat mort. Seuls d’anciens compagnons d’armes l’aidaient alors qu’il errait, sans le sou et sans nom. Comme Ulysse, il erra pendant dix ans. Mais contrairement à Pénélope, la femme de Chabert ne lui était pas restée fidèle. Lorsqu’après de longs détours, le colonel revint à Paris en 1817, sa femme, Rose Chapotel, était remariée, avait deux enfants, et portait le nom de comtesse Ferraud. Elle avait utilisé ses terres et sa fortune pour se marier dans l’aristocratie. Rose n’avait jamais répondu aux courriers du colonel. Elle refusait de le reconnaître et le traitait d’imposteur. Malgré le caractère invraisemblable de cette histoire, Maître Derville accepte de s’occuper du cas du colonel Chabert. Derville est le premier fonctionnaire de la société post-napoléonienne qui a cru et osé reconnaître le colonel. Dans l’une des scènes les plus émouvantes du livre, l’avocat Derville accompagne Chabert dans les bidonvilles de Saint-Marceau, à la périphérie de Paris. Ils arrivent à une bâtisse délabrée, où Chabert retrouve un vétéran des campagnes égyptiennes de Napoléon, Vergniaud. Le colonel vit dans une seule pièce avec un sol en terre battue et un lit de paille. Derville est choqué. Comment Chabert, l’homme dont le rôle dans la victoire de la bataille d’Eylau fut déterminant, peut-il vivre ainsi? Ensuite, Derville rejoint le faubourg Saint-Germain, quartier aristocratique à la mode, où le comte et la comtesse Ferraud ont construit une maison luxueuse avec la fortune du colonel Chabert. Ces quartiers sont à l’opposé de ceux qu’il vient de quitter… Enrichie par la mort de son mari, favorisée par Napoléon, qui lui a accordé une belle pension, la comtesse a bientôt pu jouir d’un revenu de livres par an. Après la défaite de Napoléon en 1815, son nouveau mari a été adopté par l’aristocratie victorieuse, alors qu’elle se glorifiait de son ascension dans la haute société. Pour l’aider à gravir les échelons, le comte Ferraud a engagé un secrétaire corrompu nommé Delbecq, un ancien avocat versé dans des activités criminelles. Dans ce passage du résumé du livre de Balzac, la comtesse exerce une surveillance étroite sur le secrétaire de son mari. C’est sans scrupules que cet escroc a exploité le mouvement de la Bourse et de la flambée des valeurs foncières à Paris sous la Restauration, pour tripler en trois ans la fortune de la comtesse. Le désir de résurrection du colonel est bientôt vaincu par une machination cruelle de la comtesse. Sentant que le colonel l’aime toujours, elle l’invite à sa maison de campagne, le traite tendrement, l’amadoue avec ses jeunes enfants, et utilise son secrétaire Delbecq pour l’engager à signer des documents selon lesquels il renonce à jamais à son nom. Chabert s’enfuit, dégoûté, sans signer les faux papiers, mais sans demander un sou. Il disparaît pour se réfugier à l’hospice. Vingt ans plus tard, en passant par le terrible Hôpital de Bicêtre qui abrite malades mentaux, criminels, indigents et vieux dans des conditions terribles, Derville rencontre à nouveau l’ex-colonel Chabert, méconnaissable, réduit à l’état d’épave et à moitié fou. Dégoûté par la société, Derville décide de retirer à la campagne avec sa femme. Fin du résumé du Colonel Chabert d’Honoré de Balzac.
17 août 2018 5 17 /08 /août /2018 2010 Résumé établi par Bernard Martial professeur de lettres en CPGERéférences des pages entre parenthèses édition GF n°1119 et résumé ne remplace pas la lecture du texte intégral dont il ne prétend pas reproduire les qualités NEUVIÈMEExalté par les discours du vieillard, Fabrice eut du mal à s’endormir et son sommeil fut agité par les présages. Il fut réveillé à dix heures par le son de la cloche animée par quarante paysans et se crut en prison. Il chercha un endroit pour voir sans être vu. Il avait une vue plongeante sur la cour intérieure du château 241. L’affaiblissement de son père qui n’avait que cinquante-huit ans soit trente-cinq ans de plus que lui le toucha au point qu’il crut le voir sur une terrasse ; mais ce n’était qu’un valet de chambre. Des jeunes filles étaient occupées à tracer des dessins avec des fleurs dans les rues où devait passer la procession. Le spectacle du lac ravivait en lui des souvenirs d’enfance et cette journée passée en prison dans un clocher fut peut-être l’une des plus heureuses de sa vie. » Il considérait sa vie avec hauteur 242. Il n’avait pas le cœur à haïr mais il se souvenait de Giletti. Il compara aussi sa relation compliquée et ennuyeuse avec la duchesse d’A*** que j’étais obligé d’aimer à Naples puisque je lui avais dit que j’étais amoureux d’elle » et celle, beaucoup plus simple avec la petite Marietta. Il continuait ses considérations sur la vie qu’on lui destinait, sur la pension que lui réservait sa mère. Il compara aussi le champ de bataille de Waterloo et le lac de Côme À quoi bon aller si loin chercher le bonheur, il est là sous mes yeux ! » 243 Fabrice eut besoin de deux ou trois minutes pour réaliser que là où il était, on ne pouvait pas le voir. Il rajouta cependant une toile dans laquelle il fit deux trous pour observer. Les cloches sonnaient depuis dix minutes et comme la procession sortait de l’église, la tradition des mortaretti commença 244 fusils à canons sciés remplis de poudre et plantés à terre qu’on fait exploser en même temps. Avec les lunettes de l’abbé, il reconnut beaucoup de gens et observa les femmes qu’il avait connues jeunes filles. La procession passée, la chaleur se faisait écrasante, il regarda la population se disperser dans les rues et sur le lac 245. Soudain, il entendit la porte d’en bas du clocher s’ouvrir. C’était la Ghita, la vieille servante de l’abbé Blanès qui lui apportait un panier. Il eut la tentation d’aller la saluer mais il y résista de peur de la compromettre et de déplaire à l’abbé. Il dîna, fit un somme et fut réveillé à huit heures et demie par l’abbé. Il semblait avoir vieilli de cinquante ans depuis la veille. Il lui parla de la bourse laissée à la Ghita, lui rappela de ne rien attende de son frère et lui dit de partir rapidement 246.Fabrice se hâta de partir. Il était à peine arrivé devant le château que la cloche de dix heures sonna. Il se vit soudain au milieu de quatre gendarmes et se voyait déjà arrêté mais il réussit à leur échapper. Puis, il pressa le pas et se mit à courir 247. Il était partagé entre les sentiments de peur et de honte. Pourtant, au lieu d’aller directement sur les bords du lac Majeur où sa barque l’attendait, il fit un énorme détour pour aller voir le marronnier que sa mère avait planté vingt-trois ans plus tôt. Il s’occupa d’une branche cassée et de bêcher autour de l’arbre puis se mit en route 248. Il n’avait pas fait une lieue qu’une bande éclatante de blancheur dessinait à l’orient les pics du Resegon di Lek. Il se laissa attendrir par la beauté des lieux, ce qui était dangereux dans sa situation. Il pouvait à tout moment tomber sur des gendarmes ou des douaniers. Soudain, il entendit un homme s’avançant dans le bois en chantant un air de Mercadante 249. C’était un valet de chambre. Devait-il lui casser la tête sans demander son reste ? 250CHAPITRE DIXIEMEFabrice se trouvait sur la route qui va de Lombardie en Suisse à dix pas du valet de chambre qui ne chantait plus. En saisissant la bride de son cheval, Fabrice inventa une histoire il était le marchesino Ascanio del Dongo et fuyait les quatre frères Riva qui l’avaient surpris dans la chambre de leur sœur. Il voulait trouver refuge chez le vice-roi à Milan. Il menaça le valet de mettre à ses trousses son 251 cousin, le comte Alari s’il avertissait les gendarmes. Au contraire, il lui promit de l’argent qu’il faillit oublier en s’enfuyant. A deux heures du matin, il était sur les bords du lac Majeur, puis il rejoignit Belgirate. Il était heureux d’avoir revu l’abbé Blanès et son arbre 252. Le surlendemain, Fabrice était à Parme où il raconta son voyage à la duchesse et au apprit que le Duc Sanseverina venait de mourir à Baden. Il lui léguait le palais et francs. La duchesse était ennuyée de cet héritage à cause de la marquise Raversi et des neveux du duc qui l’accablaient de lettres anonymes et de dénonciations infâmes. Fabrice recommanda au comte de leur faire rendre justice de leur comportement 253 mais celui-ci lui fit une réponse habile en rappelant au passage le vol du cheval par Fabrice. Il comptait bien rendre justice au propriétaire du cheval. Le comte évoqua son imprudence 254. Il aurait pu lui fournir un passeport pour aller en Lombardie et il serait intervenu pour lui en cas d’arrestation. Il eût été légitime de se défendre contre le valet de chambre. Le comte lui promit de l’aider à faire sa fortune comme il l’avait dit à la duchesse. Il commencerait par le faire évêque car il ne pouvait pas lui donner tout de suite l’archevêché de Parme 255. Fabrice raconta une anecdote concernant son ancêtre qui construisit le château de Grianta Galéas Sforza, Duc de Milan avait remis à Vespasien del Dongo une lettre pour le commandant du château. Vespasien décacheta la lettre et y découvrit l’ordre donné au commandant de le mettre à mort. IL modifia la lettre, se faisant reconnaître comme commandant du château puis il jeta le commandant dans un puits et déclara la guerre aux Sforza. En échangeant la forteresse contre des terres, il fit fortune. Le comte apprécia l’histoire 256 et évoqua la reddition de Napoléon aux Anglais. Il lui recommanda de ne pas commettre d’imprudence comme celle qui aurait pu le conduire à une prison éternelle ». En entendant ces mots, Fabrice pensa à la prophétie de l’abbé Blanès. La duchesse remarqua sa gravité 257. Le comte lui parla de l’archevêque Landriani. Il le ferait bientôt grand-vicaire. Pour cela, il avait fait nommer capitaine le neveu du plus ancien des vicaires-généraux ; il était lieutenant depuis le siège de Tarragone par le maréchal Suchet. Il recommanda à Fabrice de faire une visite de courtoisie à l’archevêque. Ce qu’il fit en songeant aux présages de l’abbé Blanès 258-259.CHAPITRE ONZIÈMEAu sortir de l’archevêché, Fabrice courut chez la petite Marietta ; il entendit la voix de Giletti mais c’est la mammacia, qui faisait fonctions de mère, qui lui répondit. Elle évoqua l’ordre donné à la troupe de quitter les Etats de Parme. Giletti et Marietta avaient reçu de l’argent Elle est toujours bien amoureuse de toi, mais Giletti lui fait peur ; il y a trois jours, à la dernière représentation que nous avons donnée, il voulait absolument la tuer » dit la mammacia Il lui a lancé deux soufflets et a déchiré son châle bleu. Le tambour-maître des carabiniers devait donner un assaut le lendemain 260. Marietta t’aime à la passion » ajouta-t-elle. En descendant de l’escalier, Fabrice sentit que ses belles résolutions s’étaient envolées. Il se rendit de nouveau au palais Sanseverina et remercia la duchesse de l’attitude du comte à son égard. Il voudrait lui proposer d’aller avec lui vers des fouilles à Sanguigna pour faire des fouilles. La duchesse lui reprocha de vouloir s’éloigner d’elle. Il médita sur ce qu’elle venait de lui dire — Voici une belle occasion de parler, se dit Fabrice. Mais sur le lac j’étais un peu fou, je ne me suis pas aperçu dans mon enthousiasme de sincérité que mon compliment finit par une impertinence ; il s’agirait de dire Je t’aime de l’amitié la plus dévouée, etc., etc., mais mon âme n’est pas susceptible d’amour. N’est-ce pas dire Je vois que vous avez de l’amour pour moi ; mais prenez garde, je ne puis vous payer en même monnaie ? Si elle a de l’amour, la duchesse peut se fâcher d’être devinée, et elle sera révoltée de mon impudence ; si elle n’a pour moi qu’une amitié toute simple… et ce sont de ces offenses qu’on ne pardonne point. » […] La duchesse le regardait avec admiration ; ce n’était plus l’enfant qu’elle avait vu naître, ce n’était plus le neveu toujours prêt à lui obéir ; c’était un homme grave et duquel il serait délicieux de se faire aimer. Elle se leva de l’ottomane où elle était assise, et, se jetant dans ses bras avec transport — Tu veux donc me fuir ? lui dit-elle.— Non, répondit-il de l’air d’un empereur romain, mais je voudrais être sage. »[…] Par un transport naturel et malgré tout raisonnement, il prit dans ses bras cette femme charmante et la couvrit de baisers. » A cet instant parut le comte qui eut l’air tout ému de cette scène. — Vous inspirez des passions bien singulières, dit-il à Fabrice, qui resta presque confondu du mot. »Le comte raconta l’audience de l’archevêque chez le prince 262, demandant que Monsignore Fabrice del Dongo fût nommé son premier vicaire général, et, par la suite, dès qu’il aurait vingt-quatre ans accomplis, son coadjuteur avec future succession. » Le comte, lui-même, craignant que tout cela aille trop vite, avait demandé un petit évêché pour Fabrice 263. Il avait été question de recommandations pour lui, de l’enthousiasme de Fabrice, comparé à celui du pape Pie VII. L’affaire s’était ainsi conclue. Pendant le long récit du comte, Fabrice avait eu le temps de se remettre 264. Il voulut montrer sa reconnaissance au comte. Il se proposa de partir pour le chantier de fouilles de Sanguigna. La duchesse se demandait d’où pouvait venir la passion subite de l’archevêque pour Fabrice. Le comte expliqua le respect de l’archevêque pour la naissance de Fabrice et sa haine pour l’évêque de Plaisance qui songeait à lui succéder sur le siège de Parme et s’était allié à la marquise surlendemain, Fabrice dirigeait les travaux des fouilles de Sanguigna 265 qui s’étendaient sur la route conduisant de Parme au pont de Casal-Maggiore. Les ouvriers cherchaient les ruines d’un temple. La journée était belle. Il pouvait être six heures du matin. Avec un fusil, Fabrice avait tiré quelques alouettes quand il aperçut une voiture venant de Parme et se dirigeant vers la frontière de Casal-Maggiore. Dans la voiture, il reconnut Marietta, Giletti et la vieille femme. Giletti s’imagina que Fabrice était là pour l’insulter et lui enlever Marietta. Il tenait dans la main gauche un pistolet et dans la main droite une épée 266. Il menaça Fabrice qui écarta violemment le pistolet proche de sa poitrine en se servant de son fusil comme d’un bâton sans blesser personne. Giletti sauta en bas de la voiture et commençait à s’emparer du fusil quand Fabrice fit partir le coup qui éclata près de l’oreille de Giletti qui se jeta sur lui avec son épée. Fabrice essaya de lui échapper, encouragé par Marietta. Mais quand il se baissa pour ramasser un couteau de chasse, Fabrice fut touché à l’épaule 267 par un coup d’épée que lui lançait Giletti puis il reçut dans la figure un coup furieux avec le pommeau de son épée. A ce moment-là, il fut sur le point d’être tué. Fabrice se dégagea et s’enfuit en jetant le fourreau du couteau de chasse. Subitement, il se trouva près de Giletti qui le poursuivait et qui reçut un coup dans la joue gauche. Fabrice se sentit percer la cuisse. Le coup de pommeau d’épée dans la figure faisait souffrir Fabrice et son nez saignait. Il para plusieurs coups, en porta d’autres sans trop savoir ce qu’il faisait. Vingt-cinq ou trente ouvriers faisaient corde autour de lui. Le combat sembla ralentir. Puis Fabrice sauta sur son ennemi pointe du couteau de chasse en avant Cette pointe entra dans le côté droit de la poitrine de Giletti et sortit vers l’épaule gauche ; au même instant l’épée de Giletti pénétrait de toute sa longueur dans le haut du bras de Fabrice, mais l’épée glissa sous la peau, et ce fut une blessure insignifiante. » 268 Giletti était tombé. Fabrice laissa échapper son couteau. Giletti crachait beaucoup de sang. Fabrice courut à la voiture et demanda un miroir pour évaluer ses blessures. La vieille lui fit remarquer qu’il était touché sur le haut de la joue ; elle lui recommanda les sangsues. Fabrice demanda aux ouvriers de prendre soin de Giletti quand il vit cinq ou six gendarmes arriver. Il jeta de l’argent aux ouvriers et s’élança dans la voiture, en demandant au vetturino cocher de partir au galop 269. Le cocher le rassura les gendarmes étaient à admira son courage et la vieille femme conseilla de diminuer l’allure pour ne pas éveiller les soupçons de la police autrichienne. Fabrice prendrait le passeport de Giletti mais c’était lui qui avait tout l’argent 40 écus selon la vieille femme… 6, selon Marietta 270. Ces 34 écus de différence étaient le prix de sa protection depuis la mort de Giletti, justifia la vieille. Fabrice lui donna quelques napoléons. On arriva à la frontière autrichienne. La vieille conseilla à Fabrice d’entrer seul, de traverser Casal-Maggiore et de filer. La police serait bientôt informée de la mort d’un homme. Il devait se réfugier à Ravenne ou à Ferrare. En approchant du pont de bateaux de Casal-Maggiore, Fabrice considéra le passeport de Giletti 271. Il n’avait guère le choix. Il brûla son passeport au nom de del Dongo. Mais Fabrice différait de Giletti par la taille et par l’âge. Il décida de se séparer de tout ce qui pouvait l’identifier 272. Au bout du pont, un petit homme vêtu de gris lui demanda d’entrer au bureau de police. L’employé au bijou de laiton 273 parut surpris en lisant le passeport et lui demanda s’il avait eu un accident. Fabrice s’attendait au pire. De fait, le commis était un ami de Giletti et il ne savait comment réagir pour ne pas le compromettre 274. Fabrice songeait déjà à repasser de l’autre côté de la frontière. Le commis décida de sortir et un jeune homme s’occupa du visa du visa pour Mantoue, Venise et Ferrare. Fabrice s’éloignait déjà quand il fut rattrapé 275 par… l’employé qui lui demandait s’il n’avait rien à déclarer. Fabrice répondit qu’il allait chez un de ses parents. A peine entré dans Casal-Maggiore, Fabrice pénétra dans la Trattoria. Une femme à demi-nue le reçut. Pendant qu’elle préparait le déjeuner, un homme d’une trentaine d’années entra et salua Fabrice en l’appelant Votre Excellence » 276. L’homme se présenta comme Ludovic, ancien cocher de la duchesse Sanseverina. Comme il était malade, la duchesse lui avait offert une pension pour qu’il se consacrât à la poésie. Un jour, il avait conduit Fabrice à la chartreuse de Velleja. Fabrice apprit à Ludovic qu’il venait de tuer un homme le matin même à six heures 277. Ludovic se proposa pour lui procurer des habits moins voyants. Lui et l’hôtesse lui proposeraient même de l’argent. Puis, le mari de l’hôtesse, nommé Pierre-Antoine, entra et se montra tout aussi affable avec Fabrice 278. Il lui conseilla de monter dans leur chambre. Un gendarme qui faisait la cour à la femme menaçait de fermer la Trattoria de la Théodolinde. Ludovic n’avait pas acheté de chemise. Il en donna une du mari et donna des instructions à Théodolinde et à son mari 279. Puis, il fit passer des fossés à Fabrice et lui donna de l’eau-de-vie car sa blessure à la cuisse le faisait souffrir. Ludovic lui trouva un endroit pour qu’il se repose. Il parla des réactions probables de la duchesse et de la marquise Raversi et proposa à Fabrice de faire parvenir une lettre à la duchesse. Il se préoccupa de trouver de quoi écrire 280. Quand il revint, Ludovic trouva Fabrice profondément endormi. Puis, il rédigea deux lettres. Ludovic pensait que si l’on trouvait les lettres écrites de sa main, ce serait compromettant pour lui. Il se proposa d’écrire lui-même. Fabrice lui dit donc de copier les deux lettres 281 … Une barque arriva. Ludovic demanda à Fabrice s’il voulait qu’il apporte lui-même la lettre ou qu’il l’accompagne à Ferrare. L’un des mariniers, né sur la rive droite du Pô se chargez de porter les lettres et Ludovic de conduire la barque. Ils évitèrent les barques de la police. Ludovic profita de ces longs moments de loisir pour réciter à Fabrice ses sonnets 282 jugement assez négatif. Le surlendemain dans la nuit, Fabrice débarqua avant d’arriver à Ponte Lago Oscuro. Il resta caché toute la journée et Ludovic le précéda à Ferrare. Il loua un logement chez un juif pauvre. Les blessures de Fabrice lui avaient donné de la fièvre 283. POT ETHIQUE A LENTS TICS - dans CPGE
CHAPITRE I L’auberge de la Baleine-qui-fume Ismaël, le narrateur, est mélancolique. Il a une grande envie de prendre la mer comme matelot sur un baleinier. Il est fasciné par les cachalots et a envie de paysages marins. De Manhattan il se rend à New Bedford dans le Massachusetts. Son but est d’aller à Nantucket, point de départ des expéditions. Il trouve une place dans l’auberge La Baleine-Qui-Fume » dans la même chambre qu’un harponneur toutes les autres sont complètes c’est un noir qui arrive des terres du sud Nouvelle-Zélande. Il a des têtes à vendre. Lorsqu’il arrive dans la chambre, il la trouve vide. Il s’installe dans le lit et une dizaine de minutes plus tard son co-locataire fait son entrée. Tout son corps est tatoué, il est chauve. Il se met à fumer. Ismaël est effrayé par ce sauvage » qui se prosterne devant une statuette. Ce dernier, lorsqu’il découvre la présence d’un hôte dans sa chambre, le palpe et l’interroge, terrorisant le narrateur. L’aubergiste est appelé au secours mais lorsqu’il arrive, il se montre rassurant il n’y a rien à craindre. CHAPITRE II Une paire d’amis Queequeg, le sauvage, se montre finalement délicat. Les deux hommes se lient d’amitié. Le sauvage raconte comment il est devenu matelot son père était roi de la tribu qu’il a eu envie de quitter. Il a embarqué de force sur un bateau et est devenu chasseur de baleines. Ensemble, les deux amis rejoignent Nantucket. Ils trouvent à se loger dans l’auberge qui appartient aux cousins de celle dans laquelle ils étaient précédemment. CHAPITRE III Mon beau navire Ismaël et son ami réussissent à trouver une place pour embarquer sur le Pequod, un baleinier dirigé par le capitaine Achab qui a perdu une jambe arrachée par une baleine. L’homme semble vénéré par l’ensemble de l’équipage. Son associé est le capitaine Bildad. Le propriétaire du bateau est le capitaine Peleg. Queequeg est engagé plus difficilement que son ami car c’est un sauvage, un cannibale. Mais il fait preuve d’un grand talent dans l’usage du harpon et cela lui permet d’entrer dans l’équipage. CHAPITRE IV Le capitaine Achab 24 décembre, il fait très froid. Le navire quitte le port. Starbuck est le second. C’est un homme maigre d’une trentaine d’années. Stubb est le 1er lieutenant, Flask le second, il a un caractère belliqueux. Ce sont les trois hommes importants à bord. Ils sont entourés de trois harponneurs Queequeg, l’indien Tashtego et Daggao, un nègre gigantesque ». Plusieurs jours après le départ, Ismaël aperçoit enfin Achab, puis le croise de plus en plus régulièrement. C’est un vieil homme mutilé et angoissé. Une nuit, il se met à arpenter le pont, Stubb lui demande s’il peut faire moins de bruit et subit la colère du capitaine. Le lendemain, Achab leur crie qu’il y a des baleines près d’eux. Il évoque même la possibilité d’une baleine blanche, ce que les autres ne croient pas. CHAPITRE V Tout le monde à l’arrière Le narrateur découvre que le capitaine Achab n’a qu’un objectif tuer Moby Dick, le cachalot responsable de la perte de sa jambe. Il promet à l’équipage une pièce d’or. Il la traque sans répit grâce aux cartes qu’il consulte régulièrement. Il a constitué une équipe de quelques hommes qui l’aideront à tuer lui-même l’animal. CHAPITRE VI Le jet fantôme Une nuit, Fedallah signale la présence d’un cachalot. Achab prépare le navire pour la chasse. Puis, il réapparaît régulièrement de nuit, pour disparaître aussitôt. Les marins ont de mauvais pressentiments. Le bateau est entraîné dans une tempête au Cap Bonne Espérance. Ils croisent le baleinier L’Albatros qui navigue depuis longtemps. L’équipage apprend par Achab qu’ils sont partis pour le tour du monde. Un matin, ils croient voir Moby Dick mais c’est un squid », un grand encornet des mers chaudes. Cet animal est associé à un mauvais présage lorsqu’un vaisseau en croise un, il ne rentre jamais à son port d’attache. Alors qu’il est de vigie, le narrateur aperçoit un gigantesque cachalot. Le navire se lance à sa poursuite dans quatre baleinières. La chasse s’engage et l’animal est capturé et tué. Stubb s’en fait servir une tranche et s’en régale. CHAPITRE VII Funérailles d’un cachalot Le cachalot est hissé sur le navire pour y être découpé, puis sa carcasse est jetée à la mer. Les marins croisent un autre baleinier, le Jeroboam. Son capitaine, accompagné de Gabriel, un homme qui a la réputation d’être fou, se rapproche du navire à bord d’une chaloupe. Il refuse de monter à bord car son équipage est touché par une épidémie. Il raconte qu’un de ses marins a affronté Moby Dick deux ans plus tôt mais qu’il y a perdu la vie. Gabriel tente de dissuader Achab de se confronter à l’animal. CHAPITRE VIII La jeune fille La Jeune Fille est le nom d’un autre baleinier qu’ils croisent dans les parages des Indes. Son capitaine est Derick de Beer. Il monte à bord du Pequod pour demander de l’huile. Il indique qu’il voit de moins en moins de baleines. Mais en remontant sur la baleinière, il entend que des baleines sont visibles en mer et il part immédiatement à leur poursuite. Les marins du Pequod mettent à l’eau trois embarcations à sa suite. Il y a huit baleines. Les embarcations se livrent à une course folle à la poursuite de la plus grosse – qui est aussi la plus lente – d’entre elles. Ce sont les trois baleinières du Pequod qui l’attrapent. La jeune Fille repart. Trois jours plus tard, le Pequod poursuit sa route et arrive en Asie. L’équipage aperçoit de nouveau des cachalots et se lance à leur poursuite, mais les marins constatent qu’ils sont eux-mêmes poursuivis par des pirates malais. Ils finissent par les semer et rattrapent les animaux qui se sont épuisés. Cependant la chasse dure encore plusieurs heures. Les baleiniers sont finalement encerclés par les cachalots qui finissent par leur échapper. Leur bilan est décevant ils n’ont réussi à tuer qu’une seule bête. CHAPITRE IX Le Bouton-de-Rose Une quinzaine de jours plus tard, les marins aperçoivent un navire français, Le Bouton-de-rose », qui semble aux prises avec un cachalot. Ils sentent une odeur intolérable parce que l’animal est un de ceux qui a été blessé par les marins du Pequod précédemment. Stubb pense que l’animal contient de l’ambre gris et se lance à sa poursuite. Stubb rejoint le Bouton-de-Rose et demande au second de l’équipage s’il a vu Moby Dick. La réponse est négative. Leur échange est tendu car Stubb dit à l’autre qu’il ne tirera rien des cachalots pêchés car ils sont trop vieux. Pourtant, les hommes s’acharnent sur les corps nauséabonds des animaux à bord à la demande de leur capitaine. Finalement Stubb et le second sympathisent et montent un coup pour humilier cet homme exigeant et arrogant Stubb lui ment en lui disant que l’équipage d’un autre navire a perdu des hommes dont le capitaine et un second après avoir contracté une fièvre en dépeçant une baleine comme la leur. Les baleines sont remises à l’eau est Stubb hisse la carcasse de celle qui lui paraît contenir de l’ambre gris. Plus tard, il parvient à en extraire la précieuse substance. Le navire reprend la route à la demande du capitaine Achab. Il présente ensuite le hacheur » qui est chargé de dépouiller l’animal de sa peau et de récolter l’huile provenant de sa chair. Il évoque ensuite le rôle des chaudières dont on prend grand soin sur le baleinier. Stubb allume un des deux fours du Pequod des morceaux de lard de baleines y sont placés et se transforment en huile, dégageant une épaisse fumée noire désagréable. CHAPITRE X Le doublon Quand il observe le doublon, une pièce d’or accrochée au mât du navire, Achab semble chercher à déchiffrer une prophétie. Cette pièce intrigue plusieurs membres de l’équipage. L’un d’entre eux, L’homme de l’île de Man », annonce un mauvais présage concernant la rencontre du navire et de la baleine blanche, se référant aux signes du zodiaque. Achab interpelle un navire anglais. Son capitaine lui montre son bras artificiel fait en os de cachalot. Intrigué, Achab fait descendre sa chaloupe mais ne peut monter à bord à cause de son infirmité. Le capitaine anglais l’aide avec le crochet à dépeçage. Les deux capitaines ont été mutilés suite à leur rencontre avec la baleine blanche. A la demande d’Achab, l’Anglais raconte comment il a perdu son bras dans sa confrontation avec l’animal la queue de la baleine a coupé son canot en deux et lorsque le capitaine s’est lancé à sa poursuite, il a été gravement blessé au bras par la barbe d’un harpon. Le chirurgien de bord a été obligé de lui couper ce membre car la blessure ne cicatrisait pas et il risquait de développer une gangrène. Le bras est remplacé par un os de cachalot et un maillet à son extrémité. Le capitaine indique à Achab que la baleine se dirige vers l’Est. CHAPITRE XI La jambe d’Achab En remontant à bord, Achab abime sa jambe d’ivoire et charge le charpentier Smut de lui en confectionner une nouvelle, ce que l’autre s’applique à faire. CHAPITRE XII Queequeg dans son cercueil Le Pequod arrive près du Pacifique lorsque l’équipage se rend compte qu’il y a une fuite d’huile dans la cale. Si les hommes ne réparent pas, la cargaison risque d’être perdue. Starbuck obtient -avec difficulté- l’autorisation d’ouvrir les cales. Queequeg est victime d’une fièvre qui manque de lui coûter la vie. Il est cloué dans son hamac à tel point que tout l’équipage le croit perdu. D’ailleurs, il demande à être enterré dans ce qu’il appelle un canot les coutumes de son pays font que les morts sont placés dans une pirogue et envoyés voguer sur les flots. Il ne veut pas de ce sort pour son corps. Le charpentier, à la demande d’Achab, lui confectionne un cercueil et lui apporte. Le sauvage l’aménage confortablement et il s’installe dedans avec son petit dieu, son yoyo ». Il en ressort satisfait et, le lendemain, il est guéri. Son cercueil devient son coffre de rangement. CHAPITRE XIII Le Pacifique Arrivé dans le Pacifique, Achab est plus déterminé que jamais. Il demande au forgeron de lui faire un harpon avec des clous qu’il lui remet et qu’il doit fondre. Ils travaillent tous deux pour obtenir le résultat voulu par Achab. Il veut l’instrument parfait pour tuer la baleine blanche. La pointe du harpon est faite de l’acier des rasoirs d’Achab. Ce qui fait déclarer à ce dernier qu’il fait le serment de ne plus se raser, de ne plus manger, de ne plus prier, même, aussi longtemps que… » et il ne termine pas sa phrase. Leur bateau croise Le Célibataire, un baleinier de Nantucket qui fait une tournée, plein à craquer de son chargement. Le capitaine les invite à monter à bord. Achab refuse, il veut poursuivre sa route et atteindre son but. Le lendemain, la chance leur sourit et ils tuent quatre baleines. Alors que Fedallah est dans une baleinière avec Achab, il a des visions sur l’issue de leur traque et il voit leur mort. CHAPITRE XiV Le typhon Au voisinage du Japon, le navire doit lutter contre un typhon. La mer est déchaînée. Strarbuck a envie de fuir, de retourner en Amérique. Unr baleinière est défoncée. Achab menace de mort les marins qui feraient une manœuvre pour faire demi-tour. Rien ne peut l’empêcher de retrouver Moby Dick. Alors que Starbuck entre dans la cabine d’Achab pour faire son rapport, il ne trouve pas le vieux capitaine mais aperçoit son fusil, ce qui lui donne une envie de meurtre. Il prend l’arme mais à ce moment Achab se réveille en hurlant qu’il tient Moby Dick. Starbuck replace l’arme à sa place et sort de la cabine. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirènes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques présentes sur des îles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mât de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succès, l’équipage perd sa bouée de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirènes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques présentes sur des îles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mât de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succès, l’équipage perd sa bouée de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le jour suivant, ils croisent un navire de fort tonnage, La Rachel. Son capitaine répond par l’affirmative à Achab quand il lui demande s’il a vu Moby Dick. Il ajoute qu’en voulant la chasser, son équipage a perdu une de ses embarcations qui a disparu en mer en la poursuivant. Le fils du capitaine se trouve dans cette baleinière égarée. Il implore de l’aide à Achab pour l’aider à retrouver le disparu mais l’autre refuse. Quelques jours plus tard, ils croisent un autre navire, Le Plaisir, et Achab pose la même question à son capitaine Avez-vous vu la baleine blanche ? » L’autre lui répond qu’il a perdu cinq hommes la veille et demande à Dieu la protection d’Achab. Starbuck demande une nouvelle fois au capitaine de faire demi-tour, d’abandonner la chasse de Moby Dick. Mais Achab se sent investi d’une mission divine à laquelle il ne peut déroger malgré le désespoir qui l’habite. CHAPITRE XV La course à l’abyme Une nuit, Achab sent la présence de Moby Dick. Il avertit les autres et le bateau change de cap pour la rejoindre. Il confectionne lui-même un panier pour se hisser le plus haut possible sur le mât de misaine. Puis, fou d’exaltation, il distribue les consignes aux marins pour que la chasse puisse commencer. Ils se lancent à sa poursuite et mettent un certain temps à la rejoindre. Un spectacle d’une immense beauté s’offre à eux. La baleine plonge et disparait mais tout à coup les oiseaux permettent de la situer elle se trouve sous l’embarcation d’Achab et remonde des profondeurs. Avec sa mâchoire, elle saisit le plat-bord et se met à secouer lentement la coque. Achab, fou de colère, tente de l’empêcher d’agir mais n’y parvient pas l’embarcation est coupée en deux, le capitaine tombe à l’eau. Les autres baleinières ne peuvent intervenir par peur de l’animal. Les vigies qui ont suivi la scène depuis le Pequod font se diriger le navire sur les lieux. Moby Dick est obligée de s’éloigner. Achab est hissé dans la baleinière de Stubb. Epuisé, il perd connaissance. Quand il se réveille Achab décide de chasser la baleine directement depuis le Pequod. Toute la journée l’équipage poursuit sans relâche l’animal. Toutes les voiles sont hissées. Quand le jour se lève, ils l’aperçoivent qui souffle. Ils sont maintenant tous déterminés à la chasser. Arrivés près d’elle, ils mettent les baleinières à la mer et elles s’alignent, celle d’Achab au centre. Très vite, la baleine mène l’attaque, s’en prenant aux embarcations. Elle en fracasse une partie et plonge au fond de l’eau. Puis, elle s’en prend aux hommes venus secourir ceux en difficulté et envoie voler en l’air l’embarcation du capitaine. Starbuck fait mettre un canot à la mer et recueille les hommes et tout le matériel tombé à l’eau. Leurs blessures sont légères, Achab a perdu sa jambe artificielle. Fedallah ne répond pas à l’appel. Achab ne renonce pas à la traque et tous décident de la reprendre. Il s’agit de tuer cette baleine à tout prix. A l’aube du troisième jour, Achab finit par apercevoir Moby Dick et se lance dans le troisième affrontement avec sa vieille ennemie. Les embarcations sont mises à la mer. Achab et Starbuck s’étreignent, ils savent tous deux qu’ils courent un grand danger. De nombreux requins tournent autour des baleinières. Soudain, l’immense baleine sort de l’eau et les embarcations se lancent à l’attaque. Moby Dick se retourne et les charge inlassablement. Achab aperçoit un corps qui flottent à la surface de l’eau c’est celui de Fedallah. Il ne s’agit plus de renoncer. La baleine semble cependant s’éloigner, puis elle s’immobilise et Achab plante son harpon dans ses chairs. Lorsqu’elle se retourne, un homme tombe à la mer. Les marins reprennent la poursuite. Mais elle se retourne encore et fonce cette fois sur l’embarcation d’Achab. Il parvient une nouvelle fois à l’atteindre de son harpon mais le fil s’emmêle et, lorsqu’il tente de le démêler, un anneau le saisit par le cou et il est entraîné dans l’abîme. Toutes les embarcations, y compris le Pequod, sont englouties. EPILOGUE Le narrateur a survécu grâce à la bouée faite à partir du cercueil de Queequed. Après s’y être accroché alors qu’il nageait seul en mer, il a été recueilli par le navire Le Rachel.
il était un capitaine résumé par chapitre