🎈 Chaudière Électrique Pour Plancher Chauffant Basse Température

Pompeà chaleur pour radiateur haute température. Ces radiateurs doivent normalement être raccordés à une pompe à chaleur haute température. Chez De Dietrich, nos pompes à chaleur hybrides fioul ou gaz sont compatibles avec des radiateurs haute température car elles chauffent l’eau jusqu’à 80°C. Le rendement élevé d’une Ceschaudières peuvent équiper en direct tout type de chauffage central par radiateurs ou plancher chauffant. Son corps de chauffe en CUIVRE garantit une extrême résistance à la corrosion pour une longévité certaine. Son éco-conception lui confère un excellent rendement proche de 100 %. Equipée de série d’un circulateur classe A Leplancher chauffant est un système de chauffage par le sol, à basse température. Créé dans les années 60, sa technologie a beaucoup évolué pour atteindre aujourd’hui des performances très intéressantes pour les ménages : avec sa chaleur douce, il permet un confort optimal et des économies d’énergie par rapport aux radiateurs et convecteurs. Unplancher chauffant basse température est le terme en général utilisé pour les planchers chauffants, leur grande surface d'échange permettant d'abaisser fortement la température de diffusion (plancher à environ 23°C). En déposant votre projet, un installateur qualifié proche de chez vous, vous contactera. Véritable spécialiste du Leplancher chauffant Bonnici se comporte comme un système à basse température avec des températures d’échauffement basses. Cela garantit de faibles pertes dans la distribution de la chaleur et permet Nouscalculons le dimensionnement nécessaire de votre producteur de chaleur (Pompe à chaleur, chaudière) et de vos émetteurs (radiateurs, plancher chauffant). Nous avons, ainsi, toutes les qualifications nécessaires pour vous permettre d’obtenir les différentes aides actuelles de l’État (RGE Qualibat, RGE Quali’ENR Quali’Pac). Leplancher chauffant basse température à circulation d’eau : un circuit d’eau chaude serpente dans le plancher pour chauffer la surface du sol, qui ne dépasse en aucun cas 28°C (norme fixant la température maximum du plancher chauffant), Le plancher chauffant électrique ou plancher rayonnant électrique : un câble chauffant Avantla généralisation du chauffage basse température, on installait systématiquement des radiateurs muraux afin de diffuser la chaleur. Aujourd'hui ce n'est plus le cas. Entre les planchers chauffants invisibles, les radiateurs muraux basse température ou électriques (sous certaines conditions) et les poêles à bois, le choix est Unechaudière électrique diffuse de l’eau chaude dans des radiateurs ou un plancher chauffant. Murale ou à poser, la chaudière électrique est à production d’eau chaude sanitaire et/ou peut être couplée à un ballon. Puissance, capacité de chauffe : tous nos conseils pour choisir votre chaudière électrique ! tF3C. Que vous soyez dans des travaux de construction ou de rénovation, le choix de votre système de chauffage est primordial. Installer tel ou tel type de chaudières chez vous jouera grandement sur votre budget quotidien. Voici donc tout ce que vous devez savoir sur le fonctionnement d’une chaudière électrique. Le fonctionnement d’une chaudière électrique classiqueLe fonctionnement d’une chaudière électrique basse températureLe fonctionnement d’une chaudière électrique ioniqueLe fonctionnement d’une chaudière électrique à inductionComment choisir sa chaudière électrique ?Comment installer une chaudière électrique ?Comment entretenir sa chaudière électrique ?Quels sont les prix des chaudières électriques ?Comment optimiser le fonctionnement de votre chaudière électrique ?Combien consomme une chaudière électrique ?Comment faire des économies d’énergie sur le fonctionnement d’une chaudière électrique ? Le fonctionnement d’une chaudière électrique classique Une chaudière électrique classique est un équipement vous permettant de produire du chauffage dans votre logement, voire même de l’eau chaude sanitaire si vous la coupler à un ballon. En fonction de vos besoins, de votre budget et du lieu où vous allez l’installer, vous devez savoir qu’il existe de très nombreux modèles, des murales adaptées davantage pour les petites surfaces mais aussi des au sol pour les grandes superficies. Pour produire de la chaleur dans votre logement, plusieurs étapes se succèdent au niveau du fonctionnement de la chaudière électrique classique La chaudière électrique est mise en route via un branchement au réseau électrique ;La résistance électrique immergée va chauffer l’eau qui monte ;Cette eau chauffée va être échangée avec de l’eau froide, qui descend via une valve à pression dans le circuit ;L’eau chaude est envoyée ensuite dans le circuit de chauffage central aux radiateurs et/ou plancher chauffant ;Ces émetteurs de chaleur la restituent ensuite dans les différentes pièces de votre logement ;L’eau refroidie est réutilisée dans la chaudière pour être ensuite réchauffée sans sortir du circuit. Mis à part la production de chauffage, une chaudière électrique classique peut également vous proposer 3 manières différentes d’obtenir de l’eau chaude sanitaire chez vous De manière instantanée le circuit va chauffer de l’eau directement acheminée à vos mitigeurs ;Par micro-accumulation un ballon d’eau chaude est installé au sein de la chaudière électrique ;Par accumulation un type de chauffe-eau est associé à la chaudière électrique classique. De quoi se compose une chaudière électrique classique ? Plusieurs éléments permettent un fonctionnement de la chaudière électrique classique optimale en circuit fermé, tout en assurant son rendement et sa sécurité, parmi lesquels La résistance électrique, permettant de chauffer l’eau ;Le corps de chauffe, dans lequel le circuit est installé ;Le circulateur, pour faire circuler l’eau dans le circuit de chauffage ;L’échangeur de plaque, si vous l’utilisez également pour produire de l’eau chaude sanitaire ;Un kit hydraulique, pour acheminer l’eau dans la chaudière ;Un raccordement électrique ;Un thermostat, déjà installé ou à rajouter afin de paramétrer et de réguler la production de chauffage et d’eau chaude. Quels sont les avantages et les inconvénients d’une chaudière électrique classique ? Une chaudière électrique classique permet notamment de profiter d’un équipement au rendement très intéressant, ce qui est bien meilleur que celui d’une chaudière au gaz, au fioul ou au bois. Elle est d’ailleurs facilement installable dans un bon nombre de configurations au vu de la multitude de modèles sur le marché. Par ailleurs, la chaudière ne va pas vous obliger à installer dans le même temps un circuit d’évacuation des fumées ou un raccordement spécifique au gaz par exemple. Ce fonctionnement vous permet également d’éviter tous risques d’intoxication au monoxyde de carbone et au dioxyde de carbone, tout ayant aucune odeur ni bruit. Cependant, la chaudière électrique classique n’est pas l’équipement le plus performant en termes de consommation d’électricité. Les chaudières électriques basse température ou à induction vous donneront meilleure satisfaction de ce côté-là. D’autant plus que la résistance immergée dans l’eau suppose une attention particulière à l’entretien de la chaudière, car elle est beaucoup plus exposée au tartre ce qui pourrait réduire ses performances et altérer son fonctionnement dans le temps. Le fonctionnement d’une chaudière électrique basse température Du fait de son fonctionnement similaire, la chaudière électrique basse température se rapproche de la chaudière électrique classique. En effet, le système fonctionne de la même façon mis à part que la température de chauffe est limitée, c’est-à-dire aux alentours de 50°C voire 55°C. Cette technique permettrait de réaliser près de 15% d’économies d’énergie par rapport à une chaudière électrique classique. Les avantages et les inconvénients d’une chaudière électrique basse température Le grand avantage d’une chaudière électrique basse température est que vous allez pouvoir faire des économies d’électricité. En effet, vu que la température est plus basse, l’équipement n’a pas besoin d’autant d’énergie qu’une chaudière électrique classique, pour un résultat identique. Vous allez également réduire la formation de tartre dans votre chaudière, ce qui va vous permettre de vous assurer un fonctionnement optimal et un prolongement de sa durée de vie. Néanmoins, la chaudière électrique basse température n’est plus aujourd’hui le type de chaudière le moins énergivore du marché. Même si son rendement, entre 90% et 95%, et son prix reste plus avantageux que les chaudières à combustion bois, gaz, fioul, sa rentabilité reste bien en retrait. D’autant plus que pour optimiser son fonctionnement, il est conseillé de l’associer à des radiateurs basse température également. Le fonctionnement d’une chaudière électrique ionique La chaudière électrique ionique a un fonctionnement bien différent des chaudières électriques classiques et basse température. En effet, ici, l’eau n’est pas chauffée par une résistance électrique mais par friction des ions, c’est-à-dire que des électrons de molécules sont en mouvement ce qui libère de l’énergie. Cette dernière est ensuite transmise sous forme de chaleur à un liquide caloporteur. L’échangeur va ensuite transporter ce liquide dans le circuit de chauffage. Les avantages et les inconvénients d’une chaudière électrique ionique Le fonctionnement de la chaudière électrique ionique permet de s’affranchir d’une résistance électrique plongée dans l’eau. Ainsi, vous allez éviter toutes les problématiques liées à l’entartrage de celle-ci et donc à son entretien et sa durée de vie. De plus, ce type de chaudière électrique vous donne la possibilité d’obtenir du chauffage de manière plus rapide et plus constante pour un maximum de confort dans votre logement, mais aussi des économies d’énergie. Cependant, vous devez avoir conscience que la chaudière électrique ionique est logiquement beaucoup plus chère à l’achat que les chaudières électriques classiques ou basse température. Votre budget devra donc être bien plus élevé, même si elle est éligible aux aides gouvernementales. Le fonctionnement d’une chaudière électrique à induction Le fonctionnement d’une chaudière électrique à induction est semblable aux plaques à induction que vous pouvez retrouver dans une cuisine. Dans ce cas, un électroaimant va produire de la chaleur au contact d’un métal. Cette chaleur va être ensuite transmise à un liquide caloporteur, afin qu’il soit ensuite acheminé dans le circuit de chauffage et alimente les émetteurs de chaleur, c’est-à-dire les radiateurs et/ou plancher chauffant. Les avantages et les inconvénients d’une chaudière électrique à induction La chaudière électrique à induction permet notamment de profiter d’une rapidité et d’une qualité de chauffe indéniable. Cependant, ce type de chaudière n’est pas du tout adapté à un logement individuel, c’est la raison pour laquelle il est fortement déconseillé d’en installer une chez vous. En effet, sa consommation énergétique est très importante ce qui ne vous permettra pas de faire des économies d’électricité, ni de réduire l’impact écologique, lors de son fonctionnement. Comment choisir sa chaudière électrique ? Il existe de très nombreux modèles de chaudières électriques sur le marché, ce qui peut vous compliquer la tâche lors de votre choix. Cependant, vous devez tout d’abord faire le point sur vos besoins en termes de chauffage et d’eau chaude sanitaire, les caractéristiques de votre logement mais aussi votre budget. Lorsque vous allez choisir une chaudière électrique, vous devrez notamment vous penser sur Le modèle de chaudière électrique classique, basse température, à induction, à ionisation, murale, au sol, à choisir selon la taille de votre logement et le nombre de personnes vivant sous votre toit ;La puissance de la chaudière électrique en fonction de vos habitudes de consommation, si vous chauffez tout le temps ou vous souhaitez réguler le chauffage pendant vos absences par exemple ;La configuration de votre logement sa superficie, son isolation, le lieu où la chaudière va être installée ;L’usage de la chaudière seulement pour le chauffage ou également pour produire de l’eau chaude sanitaire ;Le système de production d’eau chaude sanitaire production instantanée, à micro-accumulation ou à accumulation ;Le rendement de la chaudière électrique ou le rapport entre l’énergie qu’il fournit et l’énergie consommée pour connaître la performance de la chaudière, il est exprimé en pourcentage sachant que les plus performants ont des rendements supérieurs à 100% ;Le prix de la chaudière électrique logiquement plus les prix sont élevés plus les performances énergétiques sont intéressantes, vous pourrez donc faire des économies au moyen et long terme, mais c’est à vous de choisir en fonction de votre budget ;Les aides gouvernementales si vous optez pour une chaudière électrique peu énergivore, vous pourrez obtenir des aides de l’Etat parfois cumulables pour vous aider à financer votre équipement sous certaines conditions. Bien souvent, la chaudière électrique est conseillée seulement si vous avez un système d’émetteurs de chaleurs performants, c’est-à-dire qu’en fonction de si vous êtes équipés de convecteurs, planchers chauffants, panneaux radiants ou radiateurs à inertie ou à accumulation, ses performances sont différentes. D’autre part, son installation est peu onéreuse mais la chaudière électrique est coûteuse à l’usage, c’est la raison pour laquelle elle est privilégiée dans les logements de petites superficies et très bien isolés. L’étiquette énergie des chaudières électriques L’étiquette énergie est désormais obligatoire pour tous les systèmes de chauffage d’une puissance inférieure à 70 kilowatts. L’étiquette énergie des chaudières électriques vous permet de connaître l’efficacité énergétique de l’appareil. Elle varie donc de A++ à G et vous pouvez la retrouver sur les devis des professionnels et vous les fournir lors de la livraison ou de la pose. Si vous êtes également équipé d’un ballon d’eau chaude ou d’un système de régulation par exemple, une seconde étiquette énergie combinée va également vous être présentée. Tous les équipements de votre installation y seront alors représentés afin de vous donner la classe énergétique de votre système de chauffage mais aussi de votre système de production d’eau chaude sanitaire. L’installation d’une chaudière électrique est bien souvent plus simple qu’une chaudière à combustion comme une chaudière gaz ou fioul. Il peut donc être tentant de la réaliser soi-même. Cependant, il est fortement recommandé de faire appel à un professionnel choisi par IZI by EDF afin qu’elle s’effectue dans les meilleures conditions en termes de sécurité et de bon fonctionnement sur le long terme. Dans tous les cas, vous devez savoir que pour installer une chaudière électrique, 2 raccordements sont nécessaires. Le premier est un raccordement hydraulique, c’est-à-dire brancher l’entrée et la sortie d’eau sur votre chaudière pour éviter les fuites et les pertes calorifiques. Une soupape de sécurité est également installée afin de réaliser une vidange rapidement. Il est également nécessaire de réaliser un raccordement électrique, sur un circuit doté de son propre disjoncteur. Comment entretenir sa chaudière électrique ? Contrairement aux chaudières gaz, fioul ou à bois, l’entretien d’une chaudière électrique n’est pas obligatoire selon la législation. Cependant, vous devez jeter un coup d’œil à l’état de votre résistance électrique si votre appareil en possède une de temps en temps afin d’observer son entartrage et son état, et confirmer que votre chaudière fonctionne de manière optimale. En effet, vous risqueriez de consommer beaucoup plus d’énergie si elle est détériorée ou pleine de tartre. Si c’est le cas, pas de panique, il vous suffit de contacter IZI by EDF qui se chargera de vous mettre en relation avec un professionnel qualité afin de réaliser une vidange complète et le changement de la résistance. Quels sont les prix des chaudières électriques ? Les prix des chaudières électriques varient fortement selon différents critères comme leur type, leur capacité ou encore leur installation. Cependant, vous devez savoir que pour une chaudière électrique classique, il faut compter entre 500€ et 4000€ en moyenne tandis que pour une chaudière électrique basse température, entre 2500€ et 7000€. Le budget est d’ailleurs nettement plus élevé si vous optez pour une chaudière électrique ionique ou pour une chaudière électrique à induction. Il faudra compter en moyenne entre 8500€ et 15000€ pour ces deux types de chaudière. Si vous souhaitez produire également de l’eau chaude sanitaire, n’oubliez pas également d’investir dans un chauffe-eau ou cumulus selon vos besoins. Combien coûte la pose d’une chaudière électrique ? Aux tarifs à l’achat, vous devez également chiffrer le montant de la pose de votre chaudière électrique. De la même façon, les prix varient selon le type de chaudière électrique, sa capacité mais aussi les conditions de pose définies par la configuration du lieu où est installée la chaudière. Vous devez compter en moyenne entre 200€ et 1000€ pour une chaudière électrique classique et entre 1000€ et 5000€ pour une chaudière électrique ionique ou à induction. À ces tarifs s’ajoutent également les frais de pose d’un ballon d’eau chaude si besoin. Comment optimiser le fonctionnement de votre chaudière électrique ? Afin d’assurer un excellent rendement de votre chaudière électrique classique ou basse température, vous devez vous assurer que la résistance électrique est en excellent état et n’est pas abîmée ou entartrée. En effet, si son fonctionnement est altéré, vous risquez qu’elle se casse ou tout simplement qu’elle consomme beaucoup plus d’électricité. Dans le bénéfice du doute, si vous voyez un souci sur votre chaudière, n’hésitez pas à faire appel à IZI by EDF qui vous mettra en relation avec un professionnel qualifié. D’autre part, vous pouvez également améliorer la performance énergétique de votre chaudière électrique en l’associant à des émetteurs de chauffage moins énergivores comme des radiateurs basse consommation dernière génération ou un plancher chauffant. Ainsi, en fonctionnant avec une chaleur plus douce, ces équipements consommeront moins d’énergie et vous permettront de faire des économies sur votre facture d’électricité. D’autant plus que ces convecteurs disposent bien souvent de fonctions de régulations et de programmation, utiles pour consommer moins d’électricité tout en profitant d’un plus grand confort. De même pour la production d’eau chaude sanitaire, vous pouvez coupler votre chaudière électrique à un chauffe-eau thermodynamique ou solaire. Le chauffe-eau thermodynamique vous permettra de couvrir tous les besoins en eau chaude de votre logement. Le chauffe-eau solaire peut couvrir entre 50 et 70% de vos besoins annuels, le reste étant complété par votre chaudière électrique par exemple. Ces équipements sont bien moins énergivores que les cumulus classiques et vous permettront également de faire des économies d’énergie. Combien consomme une chaudière électrique ? La consommation d’une chaudière électrique varie fortement d’un foyer à l’autre, il est donc difficile de donner un ordre d’idées précis. Par exemple, pour une maison de 100m² où vivent 5 personnes, la consommation électrique moyenne pour se chauffer est comprise entre 13900 kilowattheures kWh et 20300 kWh. Cependant, plusieurs critères peuvent ici pris en compte sur son fonctionnement Les caractères propres de votre logement, c’est-à-dire sa superficie, le nombre de personnes composant le foyer, la qualité de l’isolation ou encore le système de chauffage central ;Vos habitudes de consommation chauffez-vous toute la journée de la même façon ? Chauffez-vous toutes les pièces à la même température ? Privilégiez-vous les bains ? les douches ? ;L’utilisation de la chaudière électrique seulement pour le chauffage ? ou également pour produire de l’eau chaude ? ;Les caractéristiques propres de la chaudière électriques sa capacité, son rendement, son système de chauffe… Comment faire des économies d’énergie sur le fonctionnement d’une chaudière électrique ? Au cas où votre chaudière électrique n’est pas équipée d’un thermostat programmable, il peut être intéressant d’en ajouter un sur votre appareil. En effet, il peut vous aider à planifier des plages horaires où vous pourrez mettre en place des variations de températures en fonction de vos périodes de présence et d’absence dans votre logement. Cette technique peut être très intéressante pour baisser légèrement la température la journée, les week-ends ou pendant vos vacances, lorsque vous n’êtes pas présent de manière prolongée. Vous pourrez ainsi faire des économies d’énergie en ne surchauffant pas les pièces de votre habitation. Pour rappel, la température doit être comprise entre 19°C et 21°C la journée et 17°C la nuit dans les pièces de vie. N’oubliez pas également que si vous êtes équipé d’un chauffe-eau ou d’un ballon d’eau chaude, il est également possible de le programmer. Ainsi, il peut être intéressant de régler la température de chauffe entre 55°C et 60°C pour faire des économies significatives sur vos factures d’énergie, sans pour autant altérer la quantité et la qualité de l’eau chauffée chez vous. Enfin, vous pouvez également opter pour une énergie renouvelable en complément de votre chaudière électrique, notamment une pompe à chaleur air/eau. Dans ce sens, une partie de la production de chauffage sera assurée par une énergie locale, moins polluante et peu émettrice de gaz à effet de serre. La pompe à chaleur assure le chauffage au-dessus d’une température extérieure, la chaudière électrique prend ensuite le relai lorsqu’il fait plus froid et pour produire de l’eau chaude sanitaire. Le chauffage par le sol aussi parfois appelé plancher chauffant » est aujourd’hui placé dans beaucoup de constructions neuves mais aussi lors de grosses rénovations. Notamment, lorsqu’il est couplé à une pompe à chaleur, parce qu’il répond aux normes quasi neutre en énergie » grâce à son système de fonctionnement à basse température qui le rend économe en énergie. Est-ce pour autant le système de chauffage idéal ? Pour vous aider à vous faire une opinion, on fait pour vous le tour de la question…Comment fonctionne un chauffage par le sol ? Il existe 2 familles » de chauffage par le sol 1. Le chauffage par le sol hydraulique C’est le plus courant. Relié au système de chauffage central à la chaudière, il est doté d’un réseau de tuyaux dans lesquels circule l’eau chaude. Ces tubes peuvent être intégrés de 3 façons > au mouillé » ils sont noyés dans la chape de béton ; > demi-sec » ils sont posés sur un isolant rainuré et recouverts d’un treillis de protection puis d’une chape ; > à sec » ils sont installés dans un isolant préformé. Au-dessus et en dessous sont placés des profilés métalliques. Le tout est recouvert d’une plaque d’acier sur laquelle peut être directement déposé le revêtement de sol pas besoin de chape. Pourquoi isoler un sol équipé d’un système de chauffage ? Afin d’éviter les pertes énergétiques et de garantir à 100% une diffusion uniforme et régulière de la chaleur dans toute la/les pièces.Bon à savoir les pompes à chaleur dont l’une des composantes est l’eau eau-eau, air-eau, sol-eau sont compatibles avec un système de chauffage par le sol hydraulique. Dans les nouvelles constructions, cette combinaison est même avant la mise en service, veillez à ce que l’installateur ait fait circuler de l’eau dans les tuyaux pour s’assurer de leur étanchéité et éviter tout risque de fuite. 2. Le chauffage par le sol électrique Ici, pas de tuyaux d’eau ni de raccordement à la chaudière. Le chauffage par le sol électrique basse température génère lui-même la chaleur une fois connecté au réseau électrique. On peut donc plus facilement le poser soi-même. Il se présente sous la forme d’un tapis » de faible épaisseur dans lequel sont incorporés les éléments de chauffage. Le système se place juste en dessous du revêtement de sol. Il est moins économique à l’usage, pas au placement et écologique que son cousin » hydraulique. Et sa chaleur est moins uniforme et agréable. Le chauffage électrique est aujourd'hui fortement pénalisé par la réglementation en matière de performance énergétique. Il est donc peu recommandé en Belgique. À côté de ces deux systèmes, il existe également ce que l’on appelle des pompes à chaleur à détente directe dans le sol ». Ici, plutôt que de l’eau, c’est du gaz frigorifique qui circule dans les tuyaux. Ce type d’installation est toutefois peu courant. La version électrique étant beaucoup moins répandue, cet article sera essentiellement consacré au chauffage par le sol hydraulique. Quelle chaudière choisir avec un système de chauffage par le sol ? Un chauffage par le sol hydraulique peut être connecté à n’importe quel système de chauffage une chaudière à condensation au gaz ou au mazout, avec une pompe à chaleur mais uniquement celles avec une composante eau, pas les air-air et même une chaudière à pellets, une chaudière hybride ou une installation solaire ! Notre avis ? La chaudière à condensation au gaz offre un excellent rendement, un prix abordable à partir de 4500€, et peu d’émissions de CO2. Bref, l’un des meilleurs rapports qualité, prix, environnement. Comment bien régler son chauffage par le sol ? Le chauffage par le sol fonctionne obligatoirement à basse température. Cela signifie que la température de l’eau circulant dans le réseau de tuyaux doit être inférieure à 50°C ; on conseille 40 à 45°C. La température maximale du sol, elle, ne sera jamais supérieure à 29°C. Vous ne vous brûlerez donc pas les pieds ;-. Le chauffage par le sol est confronté à un problème d’inertie, c’est son principal inconvénient. Il faut du temps pour que la dalle chauffe ; souvent plusieurs heures. Contrairement aux radiateurs où il suffit de tourner la vanne thermostatique pour que la température s’adapte en une vingtaine de minutes. C’est pourquoi il faut équiper le chauffage par le sol d’un système de régulation afin de gérer plus efficacement son temps de réaction. Chauffage par le sol + collecteur + système de régulation = trio gagnant Si l’on schématise, on peut dire que le collecteur est l’endroit où sont centralisés tous les robinets des différents circuits de chauffage par le sol qui alimentent chaque pièce. Il est souvent caché dans une armoire servant de local technique. Conséquence, on pense rarement à régler son chauffage par le sol au niveau du collecteur. Quelle que soit la saison, on adopte le même réglage. Installer un système de régulation thermostat, servomoteurs, sonde extérieure… peut pallier le problème. Celui-ci tiendra compte du réchauffement/refroidissement naturel de la pièce. Ce qui permettra de réduire l’inertie du système et permettra l’adaptation automatique du chauffage selon vos programmations. Des mitigeurs thermostatiques existent aussi aujourd’hui. Ils permettent de prérégler la température dans les tuyaux, quelle que soit la température extérieure. Bon à savoir il est tout à fait possible de combiner chauffage au sol pour les endroits de vie salon, salle à manger, cuisine… et chauffage au moyen de radiateurs ou convecteurs basse température pour les pièces qui ne doivent pas être chauffées en permanence, comme les chambres ou la salle de bains. Il faut alors prévoir un double circuit de chauffage. La régulation de ce chauffage est complexe et se fait via des vannes motorisées au niveau du collecteur. Combien de temps faut-il pour que le chauffage par le sol atteigne la température demandée ? Sans un bon système de régulation, cela peut prendre une demi-journée voire carrément une journée complète si vous voulez passer de 15°C à 20°C, par exemple après une absence de plusieurs jours. C’est valable aussi si vous souhaitez diminuer la température. Le système continuera à chauffer plusieurs heures après avoir diminué la température. Peut-on éteindre un chauffage par le sol ? C’est déconseillé. Pour les raisons d’inertie évoquées ci-dessus. Mieux vaut baisser la température, mais jamais sous les 12-15°C. Même si vous vous absentez plusieurs jours. Vous pouvez toutefois le mettre en position hors gel. Mais il faudra une journée voire un peu plus pour repasser à 20°C ! Et pour la nuit ? Baissez de maximum 2 à 3°C la température par rapport à votre température de confort de journée. Le chauffage au sol dans une chambre, oui ou non ? Une chambre ne doit pas être chauffée en permanence. Et jamais à plus de 17-18°C, même l’hiver. C’est pourquoi on privilégiera plutôt un système de chauffage avec radiateur dans cette pièce de la maison. Combinable avec un système par le sol comme expliqué plus haut. Peut-on faire des économies grâce au chauffage par le sol ? La réponse est clairement oui ! Sa faible température influence positivement le rendement de votre chaudière ou la performance de votre pompe à chaleur. De plus, pour une même chaleur ressentie, il faudra moins réchauffer l’espace +/- 2°C avec un chauffage par le sol qu’avec un système avec des radiateurs. En effet, une surface chaude » rayonne et on atteint un sentiment de confort avec une température d’air plus faible. L’économie peut s’élever à environ 14% sur la facture d’énergie réduire la température d’1°C permet d’économiser 7% de combustible. Chauffage et refroidissement par le sol, est-ce compatible ? Il est possible de refroidir sa maison l’été grâce à son système de chauffage par le sol. Il sera alors généralement combiné à une pompe à chaleur réversible. Plutôt que de faire passer de l’eau chaude dans le réseau de tuyaux, on y fait circuler de l’eau à 18°C, ce que l’on appelle la température de rosée ». On évitera une température plus basse, sinon de la condensation se formera sur le sol. Bon à savoir cette technique dite de refroidissement à haute température » n’est toutefois pas aussi rapide qu’une climatisation classique mais elle est moins brutale et plus naturelle ».Tous les revêtements de sol sont-ils compatibles ? Tout va dépendre de la résistance thermique du revêtement. Plus elle est faible, mieux il conduira la chaleur. Quels sont dès lors les bons et les mauvais matériaux ? Les revêtements adaptés au chauffage par le sol Le carrelage Le linoleum, à condition de le choisir mince Le béton prévoir des joints de dilatation Le vinyle Les revêtement déconseillés avec un chauffage par le sol Le bois certaines essences, notamment tropicales, sont toutefois adaptées mais l’épaisseur du parquet ne doit pas excéder 18 mm Le liège comme le bois, il se dilate La moquette Quelle est la durée de vie d’un chauffage par le sol ? En moyenne, un chauffage par le sol a une durée de vie de 50 ans. La plupart des constructeurs offrent une garantie de 10 ans sur les tuyaux. Les risques de fuite sont relativement faibles. La chaudière, elle, devra être remplacée bien avant, en fonction de son état et du rendement constatés lors des contrôles périodiques obligatoires. Quel est le prix du chauffage par le sol au mètre carré ? Un chauffage par le sol est plus onéreux qu’une installation classique avec des radiateurs. Il faut compter entre 70 et 100€/m2, TVA et placement compris lors d’une construction. En rénovation, le prix sera plus élevé car davantage de travaux seront nécessaires. Mais comme le rendement du chauffage par le sol est élevé et qu’il consomme moins d’énergie, le retour sur investissement sera au rendez-vous à des avantages et inconvénients du chauffage par le sol Les avantages Chaleur uniforme chaud au sol, plus frais près du plafond pour plus de confort Économe en énergie Pas besoin de radiateurs, et donc gain d’espace Système sain, peu de poussière, parfait pour les allergiques Pas de risque de brûlure contrairement aux radiateurs On peut marcher pieds nus sans avoir froid Idéal pour les grands espaces et grandes hauteurs sous plafond Peu d’entretien Combinable avec d’autres systèmes de chauffage Les inconvénients Plus cher à l’installation qu’un système avec radiateurs mais plus économique à l’utilisation Inertie / lenteur Convient surtout aux nouvelles constructions ou grosses rénovations Pas adapté à tous les revêtements de sol Rehausse le sol attention en cas de rénovation Besoin d’un système de chauffage ? Lisez notre guide gratuit Comment choisir son système de chauffage ! Calculer un plancher chauffant n'est pas si facile, car une multitude de facteurs rentrent en ligne de compte selon différents paramètres de base tels que la température de départ du fluide chauffant, la chute de température entrée/sortie dans la boucle, le mode de pose du plancher chauffant, le diamètre du tube, etc. Ce programme de calcul THERMASOL fonctionnant sur Excel permet de dimensionner les installations de panneaux chauffants dans des installations de chauffage par le sol. Ce programme permet de calculer très rapidement Les pas de pose des tubes chauffants les écartements entre les tubes des panneaux chauffants Le linéaire de tubes chauffant à installer dans un chauffage par le sol. Les émissions thermiques des planchers chauffants en fonction de différents paramètres tels que les températures du fluide chauffant, du diamètre des tubes chauffants et du mode de pose. Le contrôle de la température de surface du plancher chauffant. Le calcul des pertes de charge des boucles chauffantes avec le contrôle des vitesses de passage. Les émissions thermiques en mode rafraîchissement avec contrôle de la température de surface de sol. Il s'applique sur tous les types de panneaux chauffants et tient compte tout particulièrement des conditions de fonctionnement Paramétrages réglables, telles que la température du fluide chauffant départ et retour le mode de pose de chaque panneau chauffant la température du fluide de départ en mode rafraîchissant. la conductivité du béton d'enrobage W/ du diamètre et du type de tube chauffant PER, cuivre, acier, etc. les températures ambiantes des locaux attenants à la dalle chauffante la limite de température superficielle surface de sol. la limitation du pas Distance maximale entre 2 tubes Des modules de calculs complémentaires sont incorporés au programme, à savoir Une bibliothèque de différents modes pose de planchers chauffants. Une liste constituée de 60 canalisations réparties sur 5 catégories de réseaux. Une feuille de calcul d'équipements annexes Vase d'expansion, soupape, etc. Le programme de calcul est pourvu d'une commande barre personnalisée donnant accès aux différentes procédures, boîtes de calculs et macro-commandes. Les fichiers de travail sont créés séparément permettant d'alléger le stockage des données. PRESENTATION DU PROGRAMME DE CALCUL Définition des différents types de planchers chauffants La plus grande partie des émissions se font par le sol car la pose d'un isolant sous les tubes est pratiquement systématique. Répartition de flux de chaleur d’un panneau chauffant. Exemples de mode pose ou types structures de planchers chauffants Inertie thermique "temps de réponse thermique", pour plus d'exactitude relativement plus faible du fait de la faible épaisseur de 6 à 8 cm en règle générale de la dalle chauffante chape bien isolée en sous face. Pose sur terre plein Pose sur dalle intermédiaire Le coefficient d’échange de chaleur au travers d’un plancher chauffant basse température ne dépasse pas généralement 11 W/m²K Tout dépend du mode de pose, ce qui signifie que les puissances émises avec une température superficielle du sol limité à 28°C seront tout au plus Température ambiante de 18°C Delta T 10°C = 110 W / m2 Température ambiante de 20°C Delta T 8°C = 88 W / m2 Résistances thermiques & revêtements de sol Nota Parquets bois sur un plancher chauffant, les précautions à prendre Parquets collés On devra s'assurer au préalable à la pose que la résistance thermique du revêtement prévu n'excède pas 0,15 m² K/W. La température de surface du parquet doit être inférieure à 28 °C. La pose de parquets en bois de bout n'est pas admise sur sol chauffant. Ces dispositions sont prévues en vue de stabiliser le support à la teneur en eau correspondant à ses conditions ultérieures de service voisines de 2 % et d'éviter une migration ascendante d'humidité. Parquets flottants Se référer à la norme NF P 63-204 Référence DTU Dans le cas où le fabricant autorise une pose sur sol chauffant, quelle que soit la saison, il y a lieu, préalablement aux travaux de parquetage, de mettre en route le chauffage pendant trois semaines au moins. La pose du parquet est alors réalisée en respectant les dispositions particulières telles que définies dans la norme NF P 63-204-1 Référence DTU Parquets sur lambourdes Ce type de revêtement ne peut en aucun cas être employé avec un sol chauffant, en effet l'espace d'air entre la face intérieure des lattes et le sol chauffant présenterait une résistance thermique beaucoup trop importante. Bibliothèques des différents types de planchers chauffants Ce programme comprend une feuille de données des modes type de pose de planchers chauffants. Les modes de pose prédéfinis sont Les planchers sur terre-plein Le plancher sur porche Le plancher sur sous-sol Le plancher intermédiaire Le plancher sous combles Le plancher sous terrasse Dans la feuille de calcul des planchers chauffants il suffit simplement d’entrer le code du mode de pose. Pour chacun des modes de pose prédéfinis, l'utilisateur peut modifier les différents éléments constituant la dalle en-dessous et au-dessus du tube, en introduisant l'épaisseur du composant en cm ou la résistance et le lambda. La feuille de calcul permet de calculer la répartition d’émission de chaleur vers le haut et le bas en fonction du mode de pose dans le panneau chauffant. Eventuellement l’utilisateur peut rajouter d’autres types de mode de pose. Dimensionnement des planchers chauffants Température ambiante du local Le plancher chauffant/rafraîchissant se comporte comme un grand radiateur au sol. La chaleur, diffusée par rayonnement, est homogène dans toute la pièce. Avec la suppression de zones froides, ce mode de chauffage permet d'obtenir la même sensation de bien-être à 18°C qu'avec un autre type de chauffage à 20°C sécurité thermique. Un abaissement d'un degré de la température ambiante générant 7% d'économie d'énergie source Adème, le rapport qualité-prix-exploitation du plancher chauffant/rafraîchissant est particulièrement intéressant. Température superficielle de planchers chauffants La température superficielle maximale du sol en France est fixée par décret à 28°C en tout point du local pour une température intérieure de 19°C DTU La norme européenne donne des valeurs un peu plus importantes, 29°C et même 35°C pour les zones de bordure pour une température intérieure de 20°C. Température du fluide chauffant Le choix de la température de départ du fluide n'est pas aussi facile qu'il y parait. La température de départ va influencer la température superficielle du sol les émissions thermiques hautes du plancher chauffant, donc, la longueur de la boucle et par conséquent le pas. Dans tous les cas, la température maximale du fluide ne devra pas excéder 50°C DTU La chute de température d'un plancher chauffant se fait sur une plage de 5 à 10°C et plus généralement 8 à 10°C. Si la température superficielle du sol dépasse 28°C il y a lieu de prendre une température de départ du fluide inférieure ou d'augmenter la chute de température du fluide. La température de départ de l'eau 50°C maxi, ce qui donne une température moyenne, avec une chute de 10°C, de 45°C. Afin de ne pas risquer de dépasser la température superficielle du sol, fixé par décret à 28°C. Les températures moyennes généralement utilisées sont 35, 40 et 45°C ce qui permet aussi d'abaisser le coût d'exploitation. Ces températures ne sont pas des obligations, il est tout à fait possible de baser une étude sur une température de départ de 36°C généralement on ne descend pas en dessous 35°C et d'adopter une chute de 8°C ceci donne alors une température moyenne de 32°C. Il faut savoir qu'en moyenne la température de la peau chez l'homme est d'environ 31°C il est donc difficile, par simple contact, de détecter la présence d'un sol chauffant, on peut tout au plus constater que le sol n'est pas relativement froid. Inertie Le chauffage par le sol est intéressant tant au niveau du confort que de la consommation dans des locaux situés au-dessus de locaux chauffés, non soumis à des apports de chaleur importants et variables occupants, soleil, ..., à usage continu de type hébergement. Par exemple, le chauffage par le sol ne convient pas vraiment pour une école dont le temps d’occupation et les apports de chaleur gratuits élèves, ensoleillement sont importants. Pas plus pour un restaurant. Il ne convient pas non plus pour tout local fortement ensoleillé. Par contre, il convient tout à fait dans les locaux de grande hauteur atrium, local avec mezzanine, etc. pour lesquels la stratification des températures devient importante dans le cas d'un chauffage par convection. Pas de pose On appelle le "pas", l'écartement en centimètre qu'il y a entre les tubes du panneau. Prévoir une boucle minimum par pièce, ce qui permet d'avoir une indépendance et donc une possibilité d'adapter chaque pièce au confort souhaité. Dans la mesure du possible il faut essayer de ne pas avoir de boucle commune à plusieurs pièces car sinon il y a interdépendance, ce qui génère des problèmes d'équilibrage pour obtenir la température d'équilibre thermique. Dans le cas du plancher avec fonction réversible, les calculs de pas seront faits en respectant la température maximale de sol de 28°C en tout point et ce pour la température extérieure de base. Feuille de calcul Toutes les cellules placées dans les colonnes en couleur grises sont paramétrées. Les résultats s'affichent instantanément par calcul automatique. Les valeurs limites s’affichent en couleur rouge Module d'indexation de la table réseaux L'affichage et l'imputation éventuelle des types de réseaux se font par l'intermédiaire d'un module spécifique. Les types de canalisations intégrées dans le programme HydroExcel pour le calcul des pertes de charge, sont Tube acier noir T1 et T2 utilisation classique - Diamètre DN12 à DN50 Tube acier noir T3 - Diamètre DN12 à DN50 Tube cuivre usage courant - Diamètre DN10 à DN 50/52 Tube cuivre selon normes Européenne série X, Y ,Z - Diamètre 4 à 42 mm Tube polyéthylène PER - Diamètre DN12 à DN 25 Les tubes en matériau de synthèse sont plus faciles à manœuvrer que les tubes en acier. Fournis en couronnes de différentes longueurs pour une plus grande commodité, ils évitent les raccordements dans le sol contrairement aux soudures qui étaient faite sur le tube acier. Diamètre des tubes Les canalisations en tube cuivre qu'il est possible d'utiliser sont 10x12, 13x16, 16x20 et 20x25 Les canalisations les plus utilisées les tubes PER en Ø 13x16 et 16x20. L'émission thermique d'un tube 13x16 sera moindre que pour un tube de 16 x 20 -5% à -10% en moyenne en W/m°C. Les longueurs de tubes qu'il faut de dépasser sont 160 m pour du tube 16x20. 120 m pour du tube 13x16. Le risque d'entartrage par les boues de chauffage des canalisations sera réduit avec du 16x20. La perte de charge de la boucle la plus défavorisée ne doit pas dépasser 500 mbar si possible pour réduire les coûts de consommation d’électricité. La partie de tuyauterie alimentant un panneau et traversant un autre panneau est appelée ' passage '. L'émission de ces tuyauteries vient donc en déduction des besoins calorifiques à assurer par le panneau qu'elles traversent. Calcul des pertes de charge Sur la même feuille de travail les pertes de charge des boucles de chauffage par le sol sont calculées automatiquement. Vous pouvez également choisir l'unité de pression de votre choix dans l'étude Pascal DecaPascal 10 Pa mm d'eau Pa mbar 100 Pa Kilo Pascal 1000 Pa Psi, Pound per square inch Pa Bar 100000 Pa Feuille de calcul d'équipements annexes Dans le programme Thermasol, une feuille de calcul complémentaire totalement programmée peut être insérée dans le fichier de travail. Cette feuille permet de dimensionner les équipements complémentaires dans une installation thermique, à savoir Le ou les vases d'expansion fermé ou ouvert La ou les soupapes de sécurité. La bouteille casse pression ou bouteille de découplage hydraulique. Le volume d'eau tampon dans une installation d'eau glacée pour assurer le bon fonctionnement des refroidisseurs de liquide. Le calcul automatique de la contenance en eau de l'installation, de la surface de calorifuge et de la peinture pour les travaux de sous-traitance par exemple. Planchers en mode rafraîchissant Le plancher rafraîchissant est limité dans sa possibilité à refroidir l'air ambiant et ceci pour plusieurs raisons d’empêcher les risques de condensation de l'humidité de l'air à la surface du sol. un plus faible coefficient d'échange superficiel environ 6,25 W/m2/°C en moyenne contre 11,6 W/m2/°C pour le chauffage. Le sens du flux thermique vers le haut est réduit, la résistance thermique superficielle est plus importante 1 / 6,25 = 0,16 contre 1 / 11,6 = 0,086 ce qui réduit de façon significative les valeurs du coefficient surfacique. l'écart moyen des températures est moins important qu'en chauffage, ce qui réduit encore la possibilité d'absorber les apports thermiques. Règles à respecter pour les planchers réversibles Les isolants thermiques à base de matières plastiques alvéolaires sont seuls utilisables polystyrène expansé, polystyrène extrudé, mousse de polyuréthanne. Pour éviter tous risques de condensation sur les réseaux de distribution et tubes départ/retour vers le plancher prévoir si nécessaire un calorifuge. La résistance thermique au dessus du tube ne dépassera pas 0,13 contre 0,15 pour un plancher fonctionnant en mode chauffage exclusivement, celle des revêtements de sol, situés au-dessus des éléments chauffants, étant limitée à 0,09 et celle de la dalle proprement dite à 0,04 Les dalles ne doivent avoir pas une trop forte inertie thermique. Il est donc nécessaire de limiter leur masse surfacique masse comptée au dessus de l'isolant augmentée de celle du revêtement de sol associé à 160 kg/m². Les différents locaux équipés d’un plancher rafraîchissant doivent être ventilés correctement. Le circuit de départ doit comporter un dispositif limitant la température de l’eau à l'entrée des panneaux rafraîchissant en période estivale. Cette température est définie en fonction de la situation géographique selon le tableau ci-dessous. Lieu géographique en France Température minimale de départ du fluide Zone côtière de la Manche, de la mer du Nord et de l'océan atlantique au nord de l'embouchure de la Loire, largeur 30 kms 19 °C Zone côtière de l'océan atlantique au sud de l'embouchure de la Loire et au nord de l'embouchure de la Garonne, largeur 50 kms 20 °C Zone côtière de l'océan atlantique au sud l'embouchure de la Garonne, largeur 50 kms 21 °C Zone côtière méditerranéenne, largeur 50 kms 22 °C Zone intérieure 18 °C Les circuits pièces humides seront fermés en été. Si on utilise des régulations individuelles dans certaines pièces, la consigne d'été des thermostats d'ambiance des régulations individuelles ne descendra pas au dessous de 24 °C par système change-over. Une installation de climatisation doit comporter si possible par local desservi un ou plusieurs dispositifs d'arrêt manuel et de réglage automatique de la fourniture de froid en fonction de la température intérieure. Calcul du plancher rafraîchissant La solution la plus utilisée est de ne pas tenir compte du mode rafraîchissant et de dimensionner le plancher pour le mode chauffage, ce qui n'est pas forcément la meilleure méthode mais la plus simple. La capacité du plancher, en mode rafraîchissant, à absorber l'énergie générée par les apports thermiques est bien inférieure à la capacité à émettre, en mode chauffage, pour couvrir les déperditions thermiques, Le coefficient d’échange de chaleur au travers d’un plancher rafraîchissant ne dépasse pas généralement 7W/m²K Tout dépend du mode de pose, ce qui signifie que les puissances émises seront tout au plus Température ambiante du local 24°C Delta T 18 / 21°C = 31 W / m2 Température ambiante du local 27°C Delta T 18 / 22°C = 49 W / m2 Température ambiante du local 28°C Delta T 18 / 22,5°C = 54 W / m2 Il est peut être bon, lors des calculs de dimensionnement des grilles pour le chauffage, de prendre en compte le fait que le plancher fonctionnera aussi en mode rafraîchissant. L’écart moyen des températures entre l’aller et le retour est plus faible qu'en chauffage puisque la température du fluide est limitée vers le bas pour cause de condensation. En rafraîchissement, la densité de tube devrait être plus importante qu'en mode chauffage. Seulement, si le calcul en chauffage est fait à partir d'une température de départ la plus basse possible, la densité de tube sera probablement maximale dans les pièces ayant les charges calorifiques les plus importantes les pièces humides n'étant pas prisent en compte puisque le rafraîchissement de ces dernières est déconseillé pour cause de risque augmenté de la condensation cette densité ne pourra pas être augmentée. Mise à part la température du fluide, il reste encore un paramètre sur lequel on peut agir afin d'augmenter l'écart moyen des températures. Ce paramètre est le débit. Comme la puissance thermique n'est pas proportionnelle au débit, une augmentation de 50% de débit n'augmentera pas pour autant la capacité d'absorption du plancher mais il va malgré tout légèrement creuser l'écart moyen des températures. Toutes les cellules de calcul en bleu violet sont programmées. 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